Bicicleta en pays inca – Recapitulatif

Montage-frise

Le voyage à vélo peut se décliner de mille et une façons. Et c’est ce qui en fait son principal intérêt : pas besoin d’aller bien loin pour qu’un chemin, une piste, et même une petite route procurent des moments de plaisir inoubliables.

Néanmoins, certains parcours « sortent du lot », compte tenu de leur beauté et/ou de leur difficulté, et des échanges culturels partagés. C’est ainsi que certains sont devenus de véritables graals pour les cyclo-voyageurs.

En Asie centrale, par exemple, le Pamir tadjike, fait probablement partie de ces parcours.

En Amérique du Sud, le « grand fossé péruvien », entre Huaraz et Abancay (Peru’s great divide), ainsi que la traversée des salars et du désert du Sud-Lipez en Bolivie, peuvent également prétendre accéder à cette « liste restreinte ». Alors que les dénivelés monstrueux de la traversée péruvienne nous interdisaient de la parcourir en vélo avec les enfants, nous avons eu le privilège de vivre des moments rares en vélo, en traversant les grands salars de l’altiplano bolivien et le désert polychromique du Sud-Lipez.

De mai à août 2015, nous avons usé les pneus de nos vélos à travers ces hauts plateaux andins, avec nos 3 enfants.

Durant ces 3 mois, entre Paracas au Pérou et San Pedro de Atacama au Chili, nous avons parcouru environ 4000 km, dont 2350 km en vélo, et gravit près de 25 000 m de dénivelée.

Quelques semaines après notre retour, voici plusieurs articles « pratiques » récapitulatifs :

Pour retrouver nos billets dans l’ordre chronologique, c’est ici :

Et en bonus, vidéos, articles de presse… :

 

Bicicleta en pays inca – Carnet pratique

Un petit tour de quelques aspects pratiques : les supports cartographiques, les transports en cas de besoin, la nourriture et les ravitaillements en route, les questions d’argent et coût de la vie (en 2015), les aspects sécurité.

Cartes

Les cartes sont assez difficiles à trouver en dehors des Instituts Géographiques Nationaux auxquels on peut rendre visite pour trouver les cartes officielles. A Lima, on peut ainsi avoir accès aux cartes officielles au 1/100 000 alors qu’à La Paz on ne peut demander que des cartes au 1/250 000.

Si vous n’avez pas de GPS ou de Smartphone (avec les fonds de cartes GoogleMap ou OpenStreetMap par ex.), mieux vaut donc arriver dans le pays avec sa propre carte. Sur internet, on en trouve quelques unes de qualité comme par exemple :

Lire la suite

Bicicleta en pays inca – Retour d’expériences sur le matériel

Ce article vient compléter celui-ci, plus ancien : « Un petit retour d’expérience sur notre matériel ».

Nous avons conservé la plupart de notre matériel, mais des nouveautés sont apparues en 2015, car les enfants grandissent et le matériel s’use !

Dans tous les cas, on part toujours dans l’espoir de rouler léger, mais au fil des kilomètres, notre chargement ressemble plutôt à celui de Gaston :

3209844861_1_2_pfvD6J9u

Lire la suite